A l'ombre du départ[Libre]

Le vent soufflait fort en ce matin là. Apophis avait décidé d'aller faire un tour dans le port, après avoir lut un bouquin traitant de la mer et de ses danger. Il était tout près de Grand Line et il aurait aimé partir de suite, sa longue cape noire, héritage de son grand père trainait sur le sol un peu crasseux des dalles de l'allée centrale.

Arrivé au port il rencontra quelques connaissances avec qui il bavarda de tout et de rien, observant ce qu'il se passait aux alentours, plus aucun pirates n'osait mettre leur bateaux a quais ici, Smocker veillait sur le grain et personnes ne lui résistait, et ces chances étaient faibles de trouver des homme prêts a embarquer pour Grand Line. Ses cheveux mi-long flottant au vent il regardait l'horizon en pensent a son but, ses objectifs qu'il s'était fixé, il comptait y arriver coute que coute...

Au loin, il entendait les bruits des marchands vantant leur produit, leurs cris résonnait à son oreille, son ami vint le rejoindre peu après et il lui donna une petite tape dans le dos comme pour le tirer de sa rêverie tout en lui disant d'une voix ensommeillée:

"Tu rêve trop, tu devrais t'installer ici et travailler, tu pense vraiment pouvoir prendre la mer ? Réfléchis un peu, c'est pour ton bien que je dit cela !"

Il lui rétorqua sur un ton froid, comme si il avait blasphémé avec une voix bizarre qui trahissait son étonnement et sa colère, il se demandait si son ami ne le faisait pas exprès de temps en temps:

"Et toi tu sais très bien que je ne renoncerait jamais, je l'ai décidé, ne m'influence pas dans tes buts, toi tu veut mener une existance tranquille, moi pas, cesse donc a longueur de journée de me dire ce que je devrais faire ou non, j'assume mais échecs et tu ne pourrai pas me faire changer d'avis !"

Las de recevoir à chaque fois des blâmes parce qu'il lui "dictait" ce qu'il devait faire, il lui lança une miche de pain sortie directement du four pour qu'il déjeune, son ami partit ensuite en direction de la grande rue pour faire quelques emplettes surement mais lu ne se releva que 10 minutes plus tard en arpentant le port de long en large, regardant les bateaux amarrés tout en se demandant comment il avait pu devenir amis lui et l'autre qui lui dictait des leçons de vie mais pourtant il ne s'étaient jamais réellement disputé ,juste a cause de petites accolades comme celle-ci parce qu'il faisait ce qu'il lui plaisait.

Ensuite il prit la direction du libraire, dans la grand rue, les gens se regroupaient auprès de vendeurs débile avec leur produit qu'il l'étaient tout aussi, le pire, c'est qu'il vantaient des produits ne servant qu'au confort des gens, tss,pour lui c'était bien secondaire et il méprisait ses sortes de vendeurs a la noix de coco qui se permettaient de vendre des truc qu'ils jugeaient incassable ou très utiles.

Il arriva devant la porte du libraire ou la vieille femme l'accueillit avec un grand sourire jusqu'au oreilles tout en lui disant d'une voix chaleureuse:

"Toi, tu vient encore pour des livres sur la mer, j'ai eu un nouvel arrive de nouvelle copie relatant quelques histoires et contenant des cartes, ils sont placé dans la sections concernant la mer au fond a droite, enfin tu connais le chemin !"

Il la gratifia d'un même sourire jusqu'au oreilles et il alla voir les livres qu'il pourrait consulter, vu qu'il venait souvent, elle lui prêtait parfois des livres qu'il ramenait le lendemains parce qu'il avait finit et cela était bien avantageux. Il alla chercher l'ouvrage puis ils discutèrent un peu de tout et de rien, il était a présent 10h30 et il décida d'aller rendre une petite visite a quelques uns de ses...disons collège de boissons au bar dans la petite rue perpendiculairement a la grande rue. Il s'y engouffra se demandant qui il allait rencontrer mais il n'y avait que 3-4 personnes assise ainsi, donc 3 qu'il ne connaissait pas...Il s'assit et il discuta un peu avec le barman et su trouver les mot pour qu'il lui offre un verre de bière, il resterait bien ici jusqu'au soir attendant ses amis pour rire en oubliant ses problèmes, et en se maudissant pour ne pas avoir troué un équipage, il en était sur, si il se remuait, sa chance allait tourner.

Une petite larme perla sur sa joue, il ne supportait pas l'échec et pourtant, tout ce qu'il avait vécu était un échec sauf son apprentissage a manier l'épée. Il serra le poing, il refusait d'admettre que son père avait raison et qu'il aurait du tenir une ferme en tant que bon père de famille, non , il ne l'admettait pas et il pensait a son grand père, un chic type et surtout a sa petite soeur, pour elle et pour lui, il réussirait, il en donnait sa paroles et il jura sur sa tête qu'il réussirait, il se répéta sans cesse ses mots comme si sa pouvait changer quelques choses a son destin